Après 6 ans d’absence, le célèbre musicien colombien connu notamment par sa magnifique reprise de « Ne me quitte pas » vient de sortir son nouvel album « Amame » qui est décrit par son auteur comme « un rêve musical, un hommage à la musique latine de New York », mêlant des mélodies pop à des percussions urbaines accompagnées de cuivres et réalisé grâce à la fusion de musiciens virtuoses réunis pour l’occasion ; un pianiste Colombien new-yorkais, un bassiste Cubain new-yorkais, un tromboniste Espagnol new-yorkais… UN HARMONIEUX MÉLANGE DE PERSONNALITÉS DONT LES CONSONANCES LATINES NEW-YORKAISES SONT AU RENDEZ-VOUS !
A travers cet album de 10 titres écrits et composés par l’artiste, Yuri Buenaventura rend hommage aux grands musiciens latinos new-yorkais qui ont été pour lui une véritable source d’inspiration. La salsa est née là précisément entre Brooklyn et Harlem, à l’angle des cuivres et de la poésie du jazz ! La musique fait danser nos émotions et nous fait vibrer.
L’artiste souhaite aussi transmettre une mémoire avec « Aquí llegamos », son premier single, un hymne aux hommes « debout », à tous ces hommes dans le monde qui font face avec dignité.
C’est aussi l’occasion de retrouver sur scène Le Boss de la Salsa, découvert en France en 1996, de plonger dans son univers raffiné, parfois mélancolique et découvrir les morceaux de son nouvel album « Amame ». L’artiste interprétera également ses titres emblématiques qui ont fait sa renommée internationale.
« Amame, le nouvel album de Yuri Buenaventura, est une authentique déclaration d’amour à la salsa fabriquée par les musiciens afro-caribéens dans le New-York des 70’. Du nectar. » – France Inter
Cette formation au nom prestigieux est née à la fin des années 90 après un concert réunissant Celia Cruz et Alfredo de la Fe . Une formation dont le line-up variable rend hommage à la musique cubaine et portoricaine et en particulier à la musique de Célia Cruz et de Tito Puente. C’est en les écoutant que le spectateur se rend compte de la notoriété et de l’immensité du répertoire de Célia Cruz et de Tito Puente dont l’orchestre du Mercadonegro est l’héritier légitime à travers le New York Salsa All Stars.
On les a vus notamment dans les plus prestigieux festivals comme le Montreux Jazz Festival, Umbria Jazz, le Latinoamericando, ou encore la célèbre Poble Espanyol de Barcelone et la magnifique salle du Barbican Center de Londres.
Qui dit salsa dit New-York, et plus précisément le » Barrio « , un secteur du quartier de Harlem habité principalement par les immigrants venus des Antilles hispaniques, en particulier de Porto Rico. C’est là, au milieu des années 60, qu’est née cette musique résolument urbaine, mélange de rythmes cubains, portoricains et d’autres influences. Une musique de rue, aux sonorités âpres et à la rythmique contagieuse, qui exprime non seulement la révolte des exclus du grand rêve américain, mais aussi la fierté d’être caribéen. C’est pourquoi les laissés pour compte de toutes les grandes capitales d’Amérique latine s’y sont identifiés.
« Avec Mercadonegro, la salsa redevient une célébration universelle du corps et de l’âme
– RFI Musique
Jimmy Bosch, surnommé « El Trombon Criollo », est une figure emblématique de la salsa et de la musique latine. Né à Jersey City, dans le New Jersey, il est reconnu comme l’un des trombonistes les plus influents de son époque. Son style unique, mêlant virtuosité technique et expressivité musicale, lui a permis de se démarquer dans un genre où le trombone joue un rôle essentiel.
Bosch a collaboré avec de nombreux artistes de renom, tels que Ray Barretto, Eddie Palmieri et Celia Cruz, et a également été un membre clé des orchestres emblématiques comme celui de Willie Colón. En tant qu’artiste solo, il a produit plusieurs albums acclamés, notamment Salsa Dura et El Avión de la Salsa, qui reflètent sa passion pour la musique traditionnelle tout en intégrant des influences modernes.
Au-delà de ses talents musicaux, Jimmy Bosch est également apprécié pour son engagement envers la communauté latine et son rôle dans la préservation et l’évolution de la salsa. Ses performances captivantes sur scène en font un favori du public, et son influence continue d’inspirer les générations futures de musiciens.
Jimmy Bosch incarne l’esprit de la salsa : une musique vibrante, riche en culture et en émotion.
« Bosch est un maître incontesté du trombone, capable d’exprimer une palette d’émotions qui captivent autant les danseurs que les mélomanes. Ses performances sur scène sont une véritable explosion d’énergie et d’émotion, faisant de chaque concert un moment inoubliable pour le public» – Le Monde
Alfredo de la Fé est un violoniste cubain de renommée mondiale, reconnu pour ses performances scéniques électrisantes et son style unique qui révolutionne la place du violon dans la salsa. Sur scène, il déploie une énergie contagieuse, captivant le public par ses solos virtuoses et son jeu passionné. Chaque concert est une expérience inoubliable, où la tradition cubaine se mêle à des influences jazz et rock, créant une alchimie sonore qui transporte les spectateurs dans un voyage musical vibrant.
En tant que pionnier de la salsa à New York, Alfredo de la Fé a été un élément clé de la scène musicale latino-américaine de la ville. Il a collaboré avec des légendes de la salsa, comme Eddie Palmieri, Tito Puente et Celia Cruz, et a été membre des orchestres emblématiques tels que les Fania All Stars. Sa participation au New York Salsa All Stars, une formation prestigieuse réunissant les plus grands musiciens de salsa, a également contribué à célébrer l’héritage musical de Celia Cruz et Tito Puente.
Alfredo de la Fé incarne l’esprit de la salsa new-yorkaise : une musique urbaine, riche en diversité culturelle, qui reflète la fusion des influences cubaines, portoricaines et africaines. Ses performances sont une célébration de cette musique de rue, née dans le quartier d’El Barrio à Harlem, qui exprime à la fois la révolte et la fierté d’être latino.
« Avec Alfredo de la Fé sur scène, chaque concert devient une fête où le violon s’impose comme un instrument central et révolutionnaire dans la musique latine » – Le Monde latino
« Peu d’artistes peuvent transmettre autant d’énergie et d’émotion à travers leur instrument qu’Alfredo de la Fé. Il est une véritable légende vivante de la salsa » – Libération
