PARC DES CORDELIERS, ANDUZE
ENTRÉE: 10€ (GRATUIT -16ans)
RESTAURATION & BUVETTE
La première édition était dédiée au jazz classique, en hommage à cet héritage musical. Une programmation allant du jazz New Orléans au BeBop. Patrick Artero (Victoire du jazz 2009) en sera le parrain.
Un all-stars de musiciens pour une parade dans la pure tradition de la Nouvelle-Orléans !
Patrick ARTERO, d’origine espagnole, né au Viet-Nam , ayant vécu en Algérie dans son enfance, ne pouvait être que voyageur de par nature et sans préjugés dans ses choix musicaux.
Sa culture du jazz et sa maîtrise instrumentale lui ont permis de s’exprimer dans tous les styles, du New Orleans au Be-Bop, ce qui l’a amené donc à travailler avec des formations aussi diverses que LES HARICOTS ROUGES, MICHEL ATTENOUX, L’ANACHRONIC JAZZ BAND «Prix Sidney Bechet 78», RAYMOND FOL, MEGASWING 5tet,Le Multicolor Feeling d’EDDY LOUISS, PARIS-BARCELONA, CLAUDE TISSENDIER Tentet ou bien MARTIAL SOLAL Big Band…
Il a ainsi voyagé de musiques en musiques aussi à son aise chez KASSAV’, ZOUK MACHINE, ALPHA BLONDY, TOURE KUNDA, AGBAVIA (pour les Antilles et l’Afrique) qu’avec ALFREDO RODRIGUEZ,, «CHOCOLATE» ARMENTEROS, PAPAÏTO et CARLOS «PATATO» VALDES pour la musique latino-américaine.
Patrick ARTERO a collaboré également en tant que soliste, a de nombreuses grandes formations du Jazz Français telles que celles de FRANCOIS LAUDET, MICHEL PASTRE, GERARD BADINI, MARTIAL SOLAL et surtout celle de CLAUDE BOLLING avec lequel il a enregistré et accompagné de nombreuses vedettes de jazz de passage à Paris, tels que DIZZY GILLESPIE, STAN GETZ, CAB CALLOWAY, SAM WOODYARD, CAT ANDERSON, AL GREY, JIMMY FOREST, FRANK WESS, EDDY « Lockjaw » DAVIS, WILDBILL DAVIS, Troy DAVIS, Mark BROOKS and Don VAPPIE……ainsi que les chanteuses : DEE DEE BRIDGEWATER, BETTY CARTER, CARMEN MC RAE ou bien Lilian BOUTTE. Il a aussi joué avec LIONEL HAMPTON ainsi qu’avec le PAUL MAURIAT GRAND ORCHESTRA….On a pu aussi le rencontrer sur les plateaux de Télévision accompagnant aussi bien, RAY CHARLES, SERGE GAINSBOURG, EDDY MITCHELL, HENRI SALVADOR OU MICHEL LEGRAND.
Ainsi, cet Artiste de Jazz, musicien très éclectique et adepte d’une grande mixité musicale,PATRICK ARTERO, se gorge de rythmes et de mouvements, ce qui correspond bien à sa nature gourmande et curieuse de musicien voyageur…
Une fanfare collective qui rend clairement hommage à la musique de la Nouvelle Orléans.
Après un voyage initiatique à NOLA (New Orleans, Louisiana), Arnaud Le Meur, Vincent Boisseau et William Guez y ont rencontré leurs maîtres : Kirk Joseph et Roger Lewis, fondateurs du mythique Dirty Dozen Brass Band mais encore Seva Venet (Treme Brass Band…), Kevin Louis (Dejavu Brass Band…) et, last but not least, le « King » Kermit Ruffins dans son propre club de Treme, quartier populaire immortalisé par la série tv du même nom.
« Chaque rencontre reste un moment rare et inoubliable, tant la générosité, la gentillesse des musiciens que l’on rencontre vous attrape et vous voici embarqué dans le tourbillon des clubs et jam-sessions de Frenchmen et Bourbon Street, où couleurs flamboyantes, épices, vaudou, black-indians, cuisine, brass band, jazz revival ou moderne se côtoient, se complètent et c’est de cet élan que The GOMBO REVOLUTION est né ».
Cette humanité musicale que l’on retrouve dans les Second Line, rdv dominical, défilé hebdomadaire, qui réunit un à plusieurs milliers de personnes dans les rues de la capitale historique du jazz. Imprégnés de toutes ces sensations… Nous y rendons hommage !
Bien avant la fin 2011, les musiciens qui composent les Canibal Dandies jouaient déjà ensemble dans certaines des nombreuses formations de swing, jazz et blues du sud de la France.
Ces musiciens travaillèrent ensemble à se faire entendre d’une audience de plus en plus large et variée, ainsi qu’à collaborer avec la scène de danses swing montpelleraine, les SwingJammerz, puis finalement commencèrent à jouer internationalement.
Leur ambition commune de monter un nouveau répertoire qui permettrait au groupe de trouver son identité musicale propre, tout en cherchant une forme unique d’énergie, a finalement mené le groupe à sa formation actuelle sous le nom de Canibal Dandies.
Bien qu’ils jouent ce qu’on pourrait appeler du “vieux jazz” et du blues traditionnel, les Canibal Dandies sont toutefois aussi très concernés par la façon dont ces musiques sont toujours jouées aujourd’hui à la Nouvelle-Orléans, et ils incorporent ces influences contemporaines à leur style.
Entre compositions originales et standards du jazz New Orleans, leur répertoire nous invite à poser un regard nouveau sur cette musique déjà centenaire.
En trois mots: du Blues, de l’énergie, et de la joie!
Ecoutez-les donc, vous ne le regretterez pas!
Quand vous recevez vos premiers conseils de Maurice Chevalier, et que c’est Bruno Coquatrix qui vous raconte Mistinguett et Edith Piaf en ouvrant pour vous le rideau rouge de l’Olympia.
Quand, à vingt ans, vous vous retrouvez au Palais des Sports en vedette américaine des Beatles ou de Louis Armstrong, quand c’est vous qui assurez la première partie de Barbara, de Brel, de Brassens… et que vous êtes encore présents lors du premier Olympia des Rolling Stones.Quand vous remplacez Miles Davis à la Grande Parade du Jazz à Nice et que vous faites le bœuf avec B.B.King, Dizzy Gillespie, Fats Domino…Quand vous refaites le monde avec Antoine Blondin et René Fallet au coin d’un bar.Quand la réalité de la Nouvelle-Orléans est plus belle que le rêve de vos quinze ans, et que vous est offert le privilège de jouer avec de grands « messieurs » de là-bas, comme Louis Nelson, Kid Thomas, George Lewis, Alton Purnell, Sam Lee…Quand, depuis cinquante ans, vos publics d’ici et d’ailleurs, de Londres à Dakar, de Munich à Bora Bora, en passant par Auckland et Paris, quand tous ces spectateurs différents vous récompensent de leur ovation.
Alors quand, la semaine dernière, un gamin vient vous voir après le spectacle et vous dit :
“Monsieur, vous nous avez rendus heureux”…
Alors, on continue, parce qu’on aime ça, et parce que c’est ça qu’on aime
Houlette : bâton de berger, muni à son extrémité d’une plaque de fer en forme de gouttière servant à jeter des mottes de terre ou des pierres aux moutons qui s’écartent de troupeau. (Petit Robert).
Donc, sous la houlette du batteur Stéphane Roger, de l’aube au crépuscule des années 90, MEGASWING égaya les nuits parisiennes d’une lueur toute « Blue Swing red hot Funky », et donna à la scène jazz swing française une jolie couleur culte.
Après 8 ans d’existence et 3 albums, ce bel orchestre se consuma…….. pour mieux renaître de ses cendres quelques années plus tard.
Cette année Mégaswing fête ses 32 ans, le Jazz phoenix lisse ses plumes d’apparat, réaccorde ses instruments de fête pour se livrer à un ultime tour de piste que l’on espère proche du mouvement perpétuel.
Une swinging affair à suivre !
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